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AUCUN RESPECT POUR LA NATURE
Pour nous pas de problèmes, nous savons exactement à quoi nous en tenir avec Bush. Nous savons qui il est. Nous savons ce qu'il vaut. Tout comme nous connaissons la couleur de l'âme de ceux qui lui soufflent dans quel sens il doit orienter sa politique.
Comme nous le laissons entendre sur nos autres sites, notre regard va au-delà de ce que l'on peut percevoir à l'oeil nu. Les âmes damnées qui oeuvrent avec Bush sont aussi noires que les nôtres sont blanches... le combat entre l'Ombre et la Lumière ne date pas d'aujourd'hui. Cela remonte à la Création de notre monde.
Bush possède la même conception du monde que Adolf Hitler, avec cependant un petit plus... Hitler adorait les animaux et aimait la nature faute d'aimer le genre humain.
Depuis que Bush est au pouvoir, sa seule ambition est de favoriser ses riches amis patrons des industries pétrolifères, de l'armement et pharmaceutique. Il n'a que mépris pour le petit peuple. Le budget qu'il a présenté au congrès comporte 150 coupes dans le social. Seront pénalisés les enfants dont il avait pourtant fait sa priorité dans ses discours post-électoraux... "No child behind..."... les handicapés... les personnes âgées... les prisonniers... et nous ne parlerons pas bien sûr des 4 millions de "sans abri" dont il se soucie comme d'une guigne.
Question environnement : Il a refusé de signer le protocole de Kyoto et maintenant bien sûr, il autorise le massacre de l'Alaska. Qu'importe à cet individu le sort de notre planète. On ne peut s'empêcher de penser qu'il est le digne descendant de Prescott Bush, son grand-père, qui fit fortune avec Hitler...
Vendredi 18 mars 2005
ALASKA - Touche pas à mes caribous !
C’est "la demeure des caribous, des ours et des oies des neiges", écrit The Boston Globe. The Guardian, de Londres, lui, évoque "la toundra gelée, les caribous qui mettent bas, les loups, les ours polaires, les millions d’oiseaux migrateurs, la beauté éblouissante" des paysages enneigés. Cet petit paradis terrestre est aujourd’hui menacé : mercredi 16 mars, le Sénat américain a approuvé le principe de forages pétroliers dans la réserve naturelle nationale d’Alaska (ANWR, pour Arctic National Wildlife Refuge).
L’ANWR, qui couvre une superficie de 80 000 km2, a été créée en 1960. Sous le premier mandat de George W. Bush, les républicains avaient déjà tenté d'y faire autoriser la recherche et l'exploitation pétrolière. Sans succès. Le 16 mars, le projet a été voté par le Sénat par 51 voix contre 49.
Sous le titre "Un paradis en voie de pollution", The Guardian s’indigne. Il craint que l’autorisation de forages pétroliers en Alaska n’ouvre la voie à l’exploitation d’autres zones jusque-là épargnées, comme la Floride ou la Californie.
En 2000 et 2004, dans sa course à la Maison-Blanche, George W. Bush avait promis de réduire la dépendance énergétique des Etats-Unis. "Actuellement, 58 es 21 millions de barils consommés chaque jour dans le pays sont importés", précise The Guardian. Exploiter le pétrole de l’ANWR permettrait de couvrir jusqu'à 5 es besoins. Mais à quoi bon ? "Il est absurde d’imaginer que l’Amérique, qui ne possède que 3 es réserves mondiales et consomme un quart de la production globale, puisse assurer un jour son indépendance énergétique."
A quoi bon ? s’exclame aussi The Boston Globe. "En 2025, même en exploitant l’ANWR, les Etats-Unis devront toujours importer 65 e leur pétrole ; 68 i l’ANWR reste vierge." Or cette réduction de 3 e ferait "au prix de la construction d’un réseau de routes, de pistes d’atterrissage, de pipelines, de plates-formes de forage et d’autres structures". Le quotidien américain rappelle, en guise de conclusion, que l’opinion américaine s’oppose, à 55 à l’exploitation pétrolière de l’Alaska. Le Congrès a-t-il raison de n’écouter que les lobbies pétroliers ?
Sources :