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Témoignages - géophysicien André Rousseau
 
http://www.reopen911.info/11-septembre/des-signaux-sismiques-revelent-l-utilisation-d-explosifs-au-wtc-le-11-9-selon-le-geophysicien-andre-rousseau/ 

Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9, selon le géophysicien André Rousseau (mise à jour de la précédente publication)

Posté par GeantVert le 31/05/2010

Le docteur André Rousseau, ancien chercheur du CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques nous livre ici les résultats de ses analyses des signaux sismiques enregistrés le 11 septembre 2001 à New York et donne son point de vue de spécialiste sur la question de la destruction des trois tours du World Trade Center.

 

*** CE NOUVEL ARTICLE DE M. ROUSSEAU CONSTITUE UNE MISE À JOUR DE SON PRECEDENT ARTICLE PUBLIÉ LE 12 MARS 2010IL INTÈGRE NOTAMMENT LES REPONSES DE M. ROUSSEAU AUX CRITIQUES RECUES LORS DE LA PRÉCÉDENTE PUBLICATION ***

 

Une nouvelle étude des signaux sismiques le 11 septembre 2001 à New York

par André Rousseau (*), le 31 mai 2010, dernière mise à jour le 16 octobre 2011.    (Version PDF)

 

    Des signaux sismiques ont été émis le 11 septembre 2001 pendant la période où les Tours Nord et Sud des Twin Towers (respectivement le WTC1 et le WTC2) ont été percutées et se sont effondrées, ainsi qu’au cours de l’effondrement du Bâtiment 7 du WTC (aussi appelé WTC7), lequel n’a été percuté par aucun avion.

    Parmi les données sismiques publiées sur ce sujet, c’est la station d’enregistrement sismique de Palisades, située à 34 km au nord-est de Manhattan, qui semble fournir les trains d’ondes les plus aptes à être interprétés, particulièrement pour la détermination de leurs sources. Ces trains d’ondes, extraits des publications du Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia University (LDEO), sont représentés dans les figures 1 et les figures 2.

    Les sismologues se montrent perplexes dans leurs analyses des signaux enregistrés à cette occasion, tant les contradictions sont grandes et ils sont tout particulièrement intrigués par la présence de "pics" sismiques avant les effondrements… (voir la figure 4). Ce texte se concentre sur l’étude de ces signaux sismiques et a pour objectif de montrer qu’une cohérence apparaît dès que l’on sort des explications officielles. Cela donne lieu à une nouvelle interprétation qui rend caduques les assertions de la "version officielle".

Étude de la composition des différents trains d’ondes

    Les trains d’ondes dont nous disposons sont :

1. les signaux des figures 1a et 1b contemporains respectivement des percussions du WTC1 et du WTC2 par les avions,

2. les signaux des figures 2a et 2b contemporains respectivement des effondrements du WTC1 du WTC2,

3. le signal de la figure 2c contemporain de l’effondrement du WTC7. 

•    Détermination/indétermination du calage temporel du point origine des signaux

    Dans les cinq cas, l’origine des signaux a été attribuée par les sismologues qui publient ces données, aux percussions ou aux effondrements relatés par les vidéos (Kim et al., 2001 ; Irvine, 2001 ; Hoffman, 2006). L’étude de la propagation de tels signaux sismiques s’apparente à la géophysique appliquée de par les distances de propagation et la nature des sources. Or, dans ce type d’étude, les temps origine sont connus avec une grande précision (au moins à la milliseconde) pour calculer les vitesses de propagation des différentes ondes. Tel n’est pas le cas ici. Dans les cas présents, la vidéo a été utilisée pour la Tour nord (WTC1) à partir de l’enregistrement effectué par CNN et grâce à la bannière continue de l’horloge sur l’écran (Hoffman, 2006), et les résultats ont été comparés à la méthode utilisée par le Lamont (Kim et al., 2001). Cette dernière a consisté à fixer approximativement une vitesse de 2 km/s pour une onde de Rayleigh traversant plusieurs stations (voir la figure 3) situées à des distances croissantes du point origine. L’inconvénient majeur de ce procédé provient de ce que ces stations ne sont pas situées sur une ligne rectiligne, que les terrains superficiels – dans lesquels se propagent les ondes de surface – sont différents et qu’en plus ils n’ont pas la même vitesse de propagation. En effet, la rivière Hudson se trouve sur une faille qui sépare à l’ouest des terrains sédimentaires du Trias et du Jurassique avec des intrusions de dolérite, le tout surmonté de sédiments récents holocènes, et à l’est des formations cristallines et métamorphiques du Protérozoïque, du Cambrien et de l’Ordovicien qui affleurent. Ces dernières formations sont plus rapides que celles situées à l’ouest, ce qui explique que le chemin WTC-MANY, le seul situé à l’est de l’Hudson, soit plus rapide que tous les autres chemins, situés à l’ouest, ces derniers dépendant étroitement de la vitesse de propagation de la couverture sédimentaire traversée. Autrement dit, il n’est pas étonnant que seules les stations de Palisades à 34 km, d’Arny à 67,5 km et de TBR à 51 km fournissent un résultat semblable, car elles sont situées sur des formations géologiques semblables. D’ailleurs, l’énorme indétermination de 2 secondes, attribuée par les auteurs eux-mêmes (Kim et al.) des calculs à la fixation de l’origine du temps de chaque signal, oblige d’ores et déjà à prendre de la distance par rapport aux conclusions officielles.

•    Trains d’ondes attribués aux percussions des Tours (fig.1a et 1b)

    En premier lieu, il faut s’interroger sur la signification de tels signaux en fonction de la cause qui leur est attribuée. Alors que cette cause, la percussion d’un avion, est semblable pour les deux tours, la magnitude – reflétée par les amplitudes – des deux signaux est différente et l’onde générée n’a pas la même vitesse apparente (voir les figures 1a et 1b), bien que les Tours Jumelles puissent être considérées comme confondues au sens de l’origine spatiale par rapport à la distance du lieu d’enregistrement. En effet, le calcul des vitesses de propagation effectué à partir des graphes des figures 1a et 1b, où l’origine a été fixée à l’heure observée de la percussion correspondante, indique 2900 m/s pour le WTC1 et 2150 m/s pour le WTC2 : on a vraisemblablement affaire à des ondes de Rayleigh. Or, même s’ils sont très amplifiés, ces signaux ne peuvent pas avoir été générés par les percussions sur les Tours, car les ondes réelles dues aux percussions ont été amorties avant d’arriver au sol, en supposant même qu’on ait affaire aux mêmes (basses) fréquences… En effet, les fréquences des ondes générées par des explosifs sont de l’ordre du Hertz – ce qui est le cas ici -, alors que celles dues aux percussions sont supérieures à 10 Hertz, pour se situer plutôt autour de 100 hertz. D’ailleurs, la bande passante des enregistrements cités ne permet pas l’enregistrement de telles ondes. Quant à la théorie de l’oscillation des Tours, défendue par Irvine (2001), pour expliquer ces signaux, elle ne tient pas la route, car dans ce cas on aurait un signal "carré" de longue durée et d’amplitude constante, alors que nous observons un signal "en cloche", représentatif d’une impulsion puissante et brève, particulièrement évidente dans le cas du WTC2.

    Dans la mesure où il est géophysiquement impossible d’avoir deux vitesses de propagation différentes pour la même onde, à la même fréquence – car les ondes de surface sont dispersives, c’est-à-dire que les vitesses dépendent des fréquences -, sur le même parcours et à quelques minutes d’intervalle, il faut se rendre à l’évidence que les origines supposées des ondes enregistrées ne sont pas correctes, et qu’en l’occurrence elles ne sont pas liées aux percussions des avions, mais à une autre origine, tel un déclenchement d’explosion, avec un décalage de temps non identique pour les deux tours par rapport aux impacts des avions. De même, la différence de magnitude des deux signaux ne peut qu’être liée à des paramètres différents relatifs à un volume d’explosifs et/ou à leur distance au sol.

•    Trains d’ondes attribués aux effondrements des Tours (fig. 2a, 2b et 2c)

    Alors que, pour le géophysicien, les Twin Towers ont approximativement la même masse, les mêmes hauteur et largeur, et le même type de structure interne – en plus de l’identité du point d’origine des ondes et de la distance par rapport à la station d’enregistrement -, les signaux attribués au WTC1 (fig. 2a) et au WTC2 (fig. 2b), au lieu d’être semblables comme l’imposerait la thèse officielle qui attribue la source des ondes sismiques au simple effondrement des Tours, sont en fait assez différents du point de vue de leur « forme », de leur composition, et surtout de leur vitesse apparente, celle calculée à partir de l’origine officielle.

     En effet, l’enregistrement relatif au WTC1 montre les trois types d’onde caractéristiques d’une source explosive brève (type "Dirac") confinée dans un matériau solide compact : une onde P de vitesse 6000 m/s, valeur usuelle pour un terrain cristallin ou sédimentaire très consolidé (ce qui est le cas du bed-rock de Manhattan), une onde S de vitesse 3500 m/s et une onde de surface de vitesse 1800 m/s (onde de Rayleigh). Ces valeurs s’accordent avec celles enregistrées pour les tremblements de terre ou en prospection sismique.

     En revanche, l’enregistrement relatif au WTC2 ne fait pas apparaître les ondes de volume P et S observées pour le WTC1, mais seulement une onde de surface, dont la répartition des amplitudes sur la durée est différente de celle du WTC1. En fonction de l’origine déterminée du signal, la vitesse de propagation est aussi différente de celle du WTC1, et égale à 2125 m/s (onde de Rayleigh). Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de Rayleigh à 4 secondes.

    On retrouve le même cas de figure pour le WTC7 où le calcul de la vitesse de l’onde en fonction de l’origine déterminée s’apparente à une onde de Rayleigh avec 2200  m/s. Notons que les amplitudes sont ici comparables à celles des ondes émises en même temps que les percussions des Tours par les avions. Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de Rayleigh à 6,7 secondes.

    Dans les trois cas, la forme des ondes en "cloche" indique une source impulsive et non un ébranlement du sol dû à la chute de matériaux, au demeurant de petites tailles, qui a duré une dizaine de secondes (un temps très long pour un géophysicien). Notons au passage que la durée du signal s’allonge en se propageant, corrélativement avec son atténuation, et cette durée est augmentée pour les ondes de surface qui, étant dispersives, ont des vitesses de phases différentes. La durée de ces ondes ne renseigne donc pas sur la source, contrairement à l’amplitude et surtout la fréquence.

Discussion

     Le problème des ci-nommés « décalages » entre les temps origine des ondes sismiques et les horaires des percussions des tours par les avions, particulièrement celui concernant le WTC1, est certainement la question la plus emblématique de toutes les incohérences de la version officielle relative au 11 septembre 2001. Dans sa publication sur le web (Kim et al., 2001), le LDEO a publié en fait deux séries différentes d’horaires des sources, qui sont indiquées dans le tableau ci-dessous. Les premiers horaires (LDEO [1]) sont ceux fournis avec la publication des graphes, puis le LDEO les a modifiés (LDEO [2]) pour obtenir des vitesses sismiques cohérentes. En fait, quelles sont les données indiscutables ? Il y en a deux : l’heure d’arrivée des ondes à la station de Palisades, relativement faciles à « pointer », et la distance WTC-Palisades, soit 34 km. Si l’onde enregistrée s’avère être une onde de Rayleigh, sa vitesse (de groupe) de propagation est aux environs de 2000 m/s. Donc, cette onde a été créée 17 secondes avant son passage à Palisades. Là où le problème se corse pour les adeptes de la version officielle, c’est que l’heure de la source de l’onde de Rayleigh attribuée à la percussion de la WTC1 et qui arrive à Palisades à 8.46.42±1, doit donc se situer aux environs de 8.46.25±1 ! Cette heure est à comparer avec les horaires de la première colonne du tableau ci-dessous.
 

 

 

    Les données fournies par la 9/11 Commission proviennent des radars au sol et sont basées sur celles du NTSB (National Transportation Safety Board) et de la FAA (Federal Aviation Administration) : elles sont fiables à la seconde près. Si l’on considère l’heure de l’impact de l’avion sur le WTC1 fournie par la Commission, 8.46.40 (9/11 Commission Report, p.7 ; Ritter, 2002), le seul horaire fiable, parce qu’il est basé sur des données de radars au sol qui ne procèdent pas d’hypothèses, il y a un hiatus de 15 secondes entre l’heure plausible de l’origine de l’onde de Rayleigh et l’heure – postérieure - de la percussion du WTC1 par l’avion. Quoi d’autre qu’une explosion peut être à l’origine de cette onde sismique en l’absence de tremblement de terre ? Même si les résultats de Ritter (2002), qui donnent l’heure de l’impact du WTC1 à l’altitude zéro, devraient en fait être diminués de 16 secondes à une hauteur de 900 pieds (près de 275 mètres) (96èmeétage) d’après une extrapolation linéaire, ce qui pourrait correspondre à l’heure de la source sismique, comme proclamé par Mackey (2007), on doit considérer que les résultats sur les altitudes et les vitesses au sol des avions selon la NTBA (Bower, 2002), infirment cette linéarité, et dissocient de fait l’heure de l’impact de celle de la source sismique.

    De même, l’impact de l’avion sur le WTC2 ne peut expliquer pourquoi une caméra solidement fixée au sol, probablement sur un trépied, en train de filmer le WTC1 (voir 911 Blogger.com (2006)), tremble fortement une seconde avant que la boule de feu suive l’impact et tremble à nouveau cinq secondes plus tard : seules de fortes explosions peuvent être à l’origine de telles secousses.

 

    Concernant la génération d’ondes sismiques à la suite de la percussion des tours par un Boeing, la transformation de l’énergie cinétique en ondes sismiques aurait un sens si on avait affaire à la percussion entre deux corps pleins, solides et indéformables. Dans ce cas l'énergie cinétique du corps en mouvement serait en partie transformée en chaleur et le reste transmis au corps percuté sous la forme de vibrations, donc d'ondes sismiques. Or, ici, ce n'est pas le cas, parce qu'on a affaire à deux corps creux et déformables. Lors de la percussion, l'ensemble de l'énergie est transformé en chaleur et déformation des enveloppes. Et au cas où il resterait un peu d'énergie mécanique, les ondes créées dans l'enveloppe percutée seraient vite dissipées par l'absence de continuité de cette enveloppe alvéolaire. La condition nécessaire pour qu'une percussion crée néanmoins des ondes sismiques serait la percussion directe des colonnes centrales par un corps plein ; or même si un réacteur de Boeing a réussi à heurter la colonne centrale, c'est avec une énergie amoindrie par la traversée de l'enveloppe. En conclusion, même si dans ce cas une onde sismique pourrait être créée dans une colonne métallique, elle atteindrait le sol au plus sous forme de bruit, et comme le passage métal-roche est une réfraction qui absorbe de l'énergie, il ne resterait plus grand-chose pour la propagation dans le sol.

     La chute des tours a-t-elle pu être la source d’ondes sismiques ? Dans le cadre d’une percussion du sol générant des ondes sismiques, la masse énorme des tours jumelles pourrait hypothétiquement être prise en compte si ces tours étaient tombées d’un bloc compact, comme une météorite. Or, dans le cas présent, ce sont des débris éparpillés qui sont tombés, souvent transformés en poussières et la chute a duré plusieurs secondes. On est loin de l’impulsion de type Dirac créatrice d’ondes sismiques, et dans ce cas, les magnitudes ne s’additionnent pas.

    Dans la mesure où ni la simple percussion ou vibration d’une tour, ni la chute de débris ne peuvent être la source d’ondes sismiques enregistrées à 34 km de distance, et où les très basses fréquences ne peuvent avoir été provoquées que par des sources explosives, il faut rechercher pourquoi les trains d’ondes sont différents. Plusieurs cas de figure sont à considérer. On doit en effet distinguer les explosions souterraines, subaériennes (près du sol, sans le toucher) et aériennes.

     Les explosions souterraines sont assimilables aux tremblements de terre, en cela que l’énergie mécanique est transmise au terrain sous la forme d’ondes de volume (P et S) - soit directement dans ce dernier cas, soit par conversion des ondes à partir d’une cavité dans le premier cas -, et d’ondes de surface (Rayleigh et Love) quand le signal atteint une interface solide-fluide (le cas de l’air atmosphérique par exemple) (cas 1). Les explosions aériennes émettent toute leur énergie dans l’air (ondes P dites sonores), et ce qu’il en reste en atteignant le sol – quand elle l’atteint – est alors trop faible pour y créer des ondes de volume… (il peut y avoir des ondes de surface sur une faible distance) (cas 2). Les explosions subaériennes émettent une énergie qui se répartit en ondes sonores principalement dans l’air, et en ondes de surface dans le sol. Les ondes de volume dissipées dans l’air ne peuvent se retrouver qu’amoindries dans le sol, mais les ondes de surface sont bien présentes (cas 3).

    En bref, une explosion souterraine ne sera pas entendue dans l’air, mais le sol vibrera et initiera un train d’ondes complet (ondes de volume et de surface), tandis que si l’on entend une explosion, c’est qu’elle est, soit "aérienne" et elle ne donnera pas de signal sismique, soit subaérienne et des ondes de surface pourront être générées.

    Ainsi, on peut affirmer que des explosions qualifiées de "subaériennes " ont été déclenchées près de la base des Tours simultanément à la percussion de chacune d’elles par les avions, le bruit qui en découle pouvant se confondre alors avec celui des percussions (cas 3). Ces tours ont alors été fragilisées par le bris des colonnes porteuses. L’explosion à la base du WTC1 a été entendue par le témoin William Rodriguez (2006) (voir aussi Spingola (2005)).

    En ce qui concerne les effondrements de ces tours, il faut distinguer celui du WTC1 et ceux des WTC2 et WTC7. D’après les types d’ondes provenant de ces deux dernières tours, elles ont subi une très grosse explosion "subaérienne" (cas 3), entendue par les témoins. Par exemple, en ce qui concerne le WTC2, un pompier témoigne d’une explosion avant l’effondrement dans un énorme nuage de poussières (voir [1]), apparemment pas très loin de la base de la tour et accompagnée d’éclairs et de bruit d’après un « Assistant-Commissioner » (voir [2]). Un autre pompier, présent au pied du WTC2, a constaté une grande explosion au niveau de 20 étages au dessous de la zone d’impact de l’avion juste avant que le sommet de la Tour s’effondre (voir [3]). Ces explosions étaient trop hautes pour générer dans le sol des ondes de volume, et l’onde de Rayleigh enregistrée provient probablement uniquement de l’explosion située la plus près du sol. Parmi les autres explosions entendues à la base du WTC2 (Anonyme, 2009), l’une d’entre elles a généré la deuxième onde de Rayleigh enregistrée 4 secondes après la première. C’est le même phénomène qui a affecté le WTC7. Un témoin observant cette tour a entendu comme un « coup de tonnerre » qui a fait exploser les fenêtres vers l’extérieur, alors que la base du bâtiment en feu s’est affaissée une seconde plus tard, avant que la tour entière suive le mouvement (voir [4]), aidé par une seconde explosion qui a généré une onde de Rayleigh enregistrée 6,7 secondes plus tard.

    Quant au WTC1, dont l’effondrement a commencé après celui du WTC2 en dépit du fait qu’il a été percuté avant celui-ci, c’est une explosion souterraine (cas 1) qui a précédé sa chute. Cette explosion n’a donc logiquement pas été entendue par les témoins extérieurs à 10h28 EDT, sauf ceux situés à côté de cette tour (voir [5]), mais elle a été "ressentie" par une caméra qui, en filmant la tour et en étant solidaire du sol, est secouée par la vibration de ce sol au moment de l’explosion (voir [6]). En revanche, il est tout aussi logique que les nombreuses explosions que montrent les vidéos dans les étages supérieurs avant et pendant les effondrements n’aient pas provoqué d’ondes sismiques (cas 2), en raison de la fragmentation dans le temps de l’énergie détonante avec multiplication de sources successives, chacune d’entre elles ayant une impulsion limitée, insuffisante pour générer des ondes sismiques dans le sol.

    Même si les démolitions contrôlées bien faites ne créent pas d'ondes sismiques (explosions aériennes), il est utile de comparer ces observations avec les données sismiques obtenues lors des démolitions contrôlées du Kingdome à Seattle (voir Anonyme, 2000) et à Oklahoma City (États-Unis) (Holzer et al., 1996). Le cas du Kingdome est particulier, car c'est à la demande expresse des sismologues que les explosions ont été paramétrées (ils voulaient profiter de l'occasion), et celui d'Oklahoma est consécutif à la reconstitution d'un attentat à l'explosif. Ces deux exemples entrent dans le cas 3 évoqué ci-dessus, avec une explosion subaérienne puissante et l’émission consécutive d’ondes de Rayleigh, et où la chute des débris est sans conséquence du point de vue sismique, même à des distances plus faibles que 34 km (respectivement moins de 7 et de 26 km). Seuls les sismomètres situés près de la source lors de la reconstitution de l’attentat d’Oklahoma City ont réagi à l’énergie sismique créée par l’effondrement du bâtiment.

    Les magnitudes locales ML, que les sismologues ont calculées d’après les ondes de surface, donnent des résultats qui confortent nos analyses. En effet, sur l’échelle de Richter, elles se révèlent supérieures à 2 pour les ondes émises au moment des effondrements. Or, il est impossible d’obtenir une telle magnitude à partir de la seule chute de débris, et plus particulièrement sur une durée d’une décade de secondes !!. Même si la tour entière avait été ramenée à une boule compacte, il aurait fallu un déplacement de vitesse "météoritique", en tout cas supérieure à celle due à l’attraction terrestre, pour espérer atteindre une telle magnitude !! De plus, il faut noter que la magnitude attribuée à l’explosion souterraine, celle du WTC1, est ML=2,3 – comparable à celle du séisme survenu à Manhattan le 17 janvier 2001 (ML=2,4) -, alors que la magnitude provenant de l’explosion subaérienne du WTC2 est ML=2,1, donc plus faible, et cet écart – logique pour les explosions décrites – est particulièrement appréciable dans cette échelle logarithmique. Ceci est à comparer au fait que les Tours étant de masse et de hauteur semblables, la chute de leurs débris aurait dû générer une magnitude semblable, si c’eût été la source des ondes…

    Remarquons que la géophysique appliquée sait générer des ondes sismiques dans le sol, en utilisant des sources impulsives non explosives de type "weight dropping" – qui consistent à laisser tomber une masse de 3 tonnes sur le sol – ou bien des "vibrateurs" plaqués au sol. Mais les énergies des ondes développées dans le sol sont alors trop faibles pour que ces ondes y parcourent plus que quelques hectomètres…

    D’ailleurs, Kim lui-même a déclaré que l’utilisation des explosifs dans les carrières génère ce type de phénomènes, semblables à ceux analysés dans cet article. Il a également précisé que les sismographes de Palisades enregistrent quotidiennement des explosions souterraines provenant d’une carrière située à 20 miles de distance (plus de 32 km). Ces explosions sont causées par 80 000 livres (plus de 36 tonnes) de nitrate d’ammonium et créent des tremblements de terre locaux de magnitude 1 à 2. Il ajoute que la bombe au camion en 1993 au WTC n’avait pas été enregistrée sur les sismographes, parce qu’elle n’était « pas couplée » au sol.

Relations ondes sismiques/processus d’effondrement

    L’observation de l’effondrement de chacune des trois tours montre qu’il a été différent, et cela est à corréler avec les émissions d’ondes sismiques correspondantes.

    L’effondrement du WTC7 est celui qui se rapproche le plus de la démolition contrôlée classique, avec effondrements successifs des étages à partir de la base du bâtiment fragilisée par une puissante explosion subaérienne. En ce qui concerne les Twin Towers, elles ont d’abord été fragilisées par des explosions à leur base au moment où les avions les percutaient. Ensuite, il faut distinguer la partie du bâtiment située au-dessus de la zone de percussion des avions, et celle située en dessous. Si les ondes sismiques n’ont pu être générées par les explosions visibles dans les étages et qui ont permis les effondrements graduels du bas vers le haut  au dessus de la zone de percussion et du haut vers le bas au dessous de cette zone, c’est une puissante explosion située à la base du bâtiment pour le WTC2 et une autre souterraine pour le WTC1, qui ont accéléré le processus de ruine totale, et ont émis les ondes sismiques étudiées.

     En ce qui concerne ce dernier cas, celui du WTC1, l’organisme officiel FEMA (Federal Emergency Management Agency) confirme implicitement ce scénario. En effet, il note que « les vidéos de l’effondrement prises sous des angles variés montrent que l'antenne des transmissions située sur le toit de la structure a commencé à descendre verticalement et latéralement légèrement avant que le mouvement du mur extérieur soit perceptible. Ceci laisse penser que l'effondrement a commencé par une ou plusieurs ruptures de la zone centrale de l'immeuble" (FEMA, World Trade Center Building Performance Study, chapitre 2).(“Review of videotape recordings of the collapse taken from various angles indicates that the transmission tower on top of the structure began to move downward and laterally slightly before movement was evident at the exterior wall. This suggests that collapse began with one or more failures in the central core area of the building.”). Comme cette antenne était un latti de poutres en I posées en diagonale, appelé « hat truss », ce dernier reliait les murs du périmètre à la structure centrale entre le 107e étage et le toit et renforçait ainsi la structure centrale. Il soutenait l'antenne installée au sommet de la tour. Contrairement à la version officielle, qui déclare que c'est le hat truss qui a transféré l'instabilité des colonnes centrales à celles du périmètre, lesquelles auraient ensuite « lâché » suite à leur déformation due aux tirages des planchers, la logique des évènements impose donc bien de considérer que les « ruptures » des colonnes centrales proviennent d’un « découpage » à l'explosif avant la chute du bâtiment.

Conclusion

    Au moment de la percussion des Twin Towers par les avions et de l’effondrement de ces dernières, ainsi que de celui du WTC7, des ondes sismiques ont été générées. Dans la mesure où (1) les ondes sismiques ne sont créées que par des impulsions brèves, et (2) les basses fréquences sont associées à une énergie (magnitude) qui est comparable à celle d’un séisme instrumental, ces ondes révèlent indubitablement une origine explosive. Même si la percussion par les avions et la chute des débris des Tours sur le sol ont pu générer des ondes sismiques, d’une part leur magnitude a été insuffisante pour être enregistrée à 34 km, et d’autre part elles ne pouvaient qu’être homogènes.

    Or, les signaux sismiques montrent des différences significatives dans leur composition et leur magnitude, et surtout dans leurs vitesses de propagation, alors que leur parcours est pourtant identique dans des conditions identiques. Cette dernière différence étant physiquement inexplicable dans le cadre de la version officielle, on doit remettre en question le calcul des vitesses effectué à partir d’une origine calée sur les images vidéo. On ne peut que conclure qu’en réalité la source (explosive) a été déclenchée manuellement, donc avec un décalage variable pour chaque origine par rapport aux vidéos.

    La composition des ondes est révélatrice de l’emplacement de la source et la magnitude dépend de l’énergie transmise au sol. L’origine souterraine des ondes émises au moment de l’effondrement du WTC1 est attestée par la présence des ondes de volume (P et S) en plus des ondes de surface (ondes de Rayleigh), lesquelles sont présentes dans les cinq cas. L’emplacement de la source des quatre autres explosions est subaérien, ce qui est attesté par la seule présence des ondes de Rayleigh. Les explosions aériennes visibles sur les vidéos dans les étages supérieurs des Twin Towers ne fournissent pas d’ondes sismiques à 34 km de distance de la source.

    Il y a un facteur dix entre la puissance des explosions contemporaines des percussions des Twin Towers (ainsi que de celle contemporaine de l’effondrement du WTC7) et la puissance de celles – les plus puissantes – contemporaines de leur effondrement, l’explosion souterraine sous le WTC1 étant celle qui a transmis le plus d’énergie au sol.

    Notons aussi que dans la mesure où les ondes de surface sont dispersives (la vitesse dépend de la fréquence), la durée du signal enregistré n’est pas représentative de la durée du signal à sa source.

    Enfin, la démolition contrôlée des trois tours, suggérée par les témoignages visuels et auditifs, ainsi que par les observations sur leurs chutes, est donc démontrée par l’analyse des ondes sismiques émises au moment des percussions par les avions et aux moments des effondrements.
 

 

 

Notes de l’auteur : Les témoignages cités dans les notes (1), (2), (3) et (5) proviennent de :

Oral Histories From Sept. 11 Compiled by the New York Fire Department – The New York Times (2005) :

(http://graphics8.nytimes.com/packages/html/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/met_WTC_histories_full_01.html

(1) Interview du pompier Richard Banaciski, situé dans la rue en face du WTC2

« Je m’en souviens, on était… au début on était dans la rue, et puis des gens ont commencé à sauter, alors tout le monde est revenu en arrière vers le parking couvert, en direction du bâtiment, pour être à l’abri de ce qui tombait.

On est restés là peut-être 10 ou 15 minutes et je me rappelle qu'il y a eu justement une explosion. Ça ressemblait à ce qu’on voit à la télévision quand on détruit un bâtiment. C’était comme si ça faisait tout le tour comme une ceinture, toutes ces explosions. Tout le monde s’est alors écrié : « courez ! », on  est partis en se retournant et on s'est rués dans le parking couvert, parce que c’était de là qu’on venait. En courant tout droit c’est là qu’on arrivait. On ne pensait pas que le bâtiment était en train de s’écrouler. On pensait juste qu’il y avait eu une grosse explosion, que des trucs allaient nous tomber dessus. Puis un énorme nuage de fumée s'est engouffré dans le parking. »

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110253.PDF

(2) Interview de l’Assistant-Commissioner Stephen Gregory situé dans la rue devant le WTC2

« A ce moment-là, on a entendu un bruit énorme, on a entendu du bruit et ensuite le bâtiment s’est effondré.
(…) Quand j’ai regardé en direction du World Trade Center avant qu’il ne s’effondre, avant que la tour 2 ne s’effondre, (…) j’ai vu des flashs vers le bas. Quand j’ai parlé avec le lieutenant Evangelista, alors que je ne lui en avais pas parlé, il m’a demandé si j’avais vu des flashs devant le bas du bâtiment, et je lui ai répondu oui parce que je pensais, à ce moment-là, je n’avais aucune idée de ce que ça pouvait être. Je veux dire, ça aurait pu être comme la conséquence de l’effondrement du bâtiment, des choses qui explosent, mais j'ai vu des flash flash flash et puis ça a fait comme si l’immeuble s’effondrait. »

Q. Est-ce que c’était au-dessous ou au-dessus de la zone touchée par les incendies ?

R. « Non, c’était sur la partie en dessous. Vous savez comme c'est quand on démolit un bâtiment, quand on le fait sauter et qu'il s’effondre ? C’est ce que je pense avoir vu. Je n’en ai pas parlé au lieutenant, mais il m’a interrogé, lui. Il m’a dit : « je ne pense pas être fou, mais je voudrais te demander quand même parce que tu étais juste à côté de moi » il m’a demandé si j’avais vu quelque chose sur l’immeuble. Je lui ai demandé ce qu’il voulait dire par « voir quelque chose ». Il m’a demandé : « as-tu vu des flashs ? ». Je lui ai répondu que oui, je pensais que j’avais dû rêver; il m’a dit que lui aussi avait vu ces flashs. Je ne sais pas si ça fait sens. Je veux dire, j’ai assimilé cela au bâtiment en train de s’effondrer en écrasant des trucs, ça aurait pu être des explosions dues à l’électricité, ou à n'importe quoi d’autre. Mais c’est quand même troublant que deux personnes disent à peu près la même chose alors qu'aucune d'elles nous n’en avait parlé. Je veux dire que je ne connais ce gars ni d'Eve ni d'Adam. Je me tenais juste à côté de lui. Je ne l’avais jamais rencontré de ma vie auparavant. Il savait qui j’étais par mon nom sur ma veste, je suppose, et il m’a interpellé genre « comment ça va ? Tout va bien ? Et puis, heu,au fait…» C’était juste un peu étrange. »

Q. A la télévision également on a vu, avant le premier effondrement, qu’il y avait eu une explosion au niveau des étages supérieurs.

R. « Je sais oui, l’explosion aux étages supérieurs. C’était en face, je n’ai pas eu à regarder, j’avais déjà le regard tourné dans cette direction. Je ne vais pas vous dire si c’était au premier ou au deuxième étage, mais c’est quelque part par là que j’ai vu ce qui m’a semblé être des flashs. Je ne sais pas où c’était en bas. Je veux dire, on avait entendu le bruit, mais après tout, je ne sais pas. »

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110008.PDF

(3) Interview du pompier William Reynolds situé devant le WTC2

« Après un petit moment, je ne sais pas combien de temps exactement, j’ai été très préoccupé par une  grosse explosion provenant de la tour sud. C'était comme si on tirait sur 50 mètres dans toutes les directions, et puis tout d’un coup le sommet de la tour  a commencé à s'effondrer comme un mille-feuille (...).

(Le feu) est apparu quelque part au-dessous (des étages supérieurs où l’effondrement a commencé). Peut-être vingt étages sous la zone percutée par l’avion. Je croyais que c’était un incendie et puis quand ensuite j’ai vu ça à la télévision, ça ne montrait  apparemment pas du feu, ça montrait un jet de fumée s’échappant de dessous la zone d'impact de l’avion. »

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110288.PDF

(4) 9/11/2001 radio broadcast, 9/11 Videos – The Controlled Collapse of WTC7

« J’étais juste là, vous savez... on regardait l’immeuble (le WTC7), il était en feu… Les étages du bas étaient en feu et on a entendu ce bruit… comme un coup de tonnerre… tout autour - on a été choqués de voir que le bâtiment était… Hé bien, ça a fait comme une onde de choc parcourant l’immeuble, et toutes les fenêtres ont éclaté… C’était horrible… Une seconde plus tard, l'étage du bas s’est affaissé et l’immeuble a suivi… On a vu l’immeuble s’effondrer tout entier vers le sol… on était en état de choc. »

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/wtc7.html

(5) Interview du Lieutenant EMS Bradley Mann arrivé dans l’entrepôt du WTC1

« Nous étions sur place tout au long de l’événement. Juste avant l’effondrement de la première tour, je me rappelle avoir senti le sol trembler. J’ai entendu un énorme bruit, et les débris ont commencé à voler de partout. Tout le monde s’est mis à courir là-bas. (…)

Alors que tombaient les débris provenant du ciel suite au premier effondrement, nous avons commencé à retourner à l'est vers West Street et quelques minutes plus tard, je ne me souviens plus exactement, parce qu'on était tellement occupés à voir qui était là et qui manquait, il s’est passé la même chose. Le sol a tremblé de nouveau, et nous avons entendu un autre bruit énorme, puis nous avons su que la seconde tour s’effondrait. Et de nouveau on a couru sur Vesez Street  pour sauver notre peau. »

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110194.PDF

(6) Vidéo de la preuve d’une explosion survenue à la base du WTC1

« Cette vidéo montre l’effondrement du WTC1 (…). La caméra n'était pas tenue à la main, mais directement reliée au sol par un trépied, ce qui permit à la caméra de saisir visuellement un tremblement du sol qui est survenu environ 13 secondes avant que l’immeuble ne s’effondre. La vidéo montre aussi un objet tombant de la droite du bâtiment peu avant que la caméra ne commence à trembler. La proximité dans le temps de ces deux événements indique qu'ils sont liés. »

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/shake.html



Références :


Anonyme (2000) : Kingdome implosion seismograms.
http://www.geophys.washington.edu/SEIS/PNSN/WEBICORDER/KINGDOME/

Anonyme (2009) : 9/11 Firefighters : Bombs and Explosions in the WTC.
http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/911_firefighters.html

911 blogger.com (2006) : Video proof of inside job (no less!)
http://911blogger.com/news/2006-10-13/video-proof-inside-job-no-less
http://italy.indymedia.org/uploads/2005/04/wtc2-strike-2.avi

Bower D.R. (2002) : Radar Data Impact Speed Study, American Airlines Flight 11, United Airlines Flight 175, NTSB, February 7,2002.

Hamburger R., Baker W., Barnett J., Marrion C., Milke J., and “Bud” Nelson H. (2009) : World Trade Center Building Performance Study, Data Collection, Preliminary Observations, and Recommendations, FEMA, Chapter 2.
http://www.fema.gov/pdf/library/fema403_ch2.pdf

Hoffman J. (2006) : Seismic Records of the Twin Towers’ Destruction : Clarifying the Relationship Between Seismic Evidence and Controlled Demolition Theories.
http://911research.wtc7.net/wtc/analysis/collapses/freefall.html

Holzer T. L.,. Fletcher J. B, Fuis G. S., Ryberg T., Brocher T. M., and Dietel C. M. (1996), Seismograms offer insight into Oklahoma City bombing, Eos Trans. AGU, 77(41), pp393, 396-397.
http://209.85.229.132/search?q=cache:-VD6lxBuA9IJ:earth.agu.org/sci_soc/eosholzer.html+seismograms+offer+insight+into+Oklahoma+city+bombing&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

Irvine T. (2001) : The World Trade Center Disaster: A Shock and Vibration Perspective.
http://www.vibrationdata.com/Newsletters/November2001_NL.pdf, pages 4-10

Kim Won-Young, Sykes L.R., Armitage J.H., Xie J.K., Jacob K.H., Richards P.G., West M., Waldhauser F., Armbruster J., Seeber L., Du W.X., and Lerner-Lam A (2001) : Seismic Waves Generated by Aircraft Impacts and Building Collapses at World Trade Center, New York City, Eos, Transactions, American Geophysical Union, Vol. 82, No. 47, pages 565, 570-571, November 20, 2001.
http://www.ldeo.columbia.edu/LCSN/Eq/20010911_WTC/WTC_LDEO_KIM.pdf

Mackey R. (2007) : Examining Dr. David Ray Griffin’s Latest Criticism of the NIST World Trade Center Investigation, On Debunking 9/11 Debunking, p.79-82.

Ritter J. (2002) : Flight Path Study-American Airlines Flight 11, NTSB, February 19, 2002.
http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB196/doc01.pdf

Rodriguez W. (2006) : 9/11 Hero “last man out”, Wednesday, November 7th, American Scholars Symposium, Seattle Center.

Spingola D. (2005) : William Rodriguez, a 9-11 Survivor.
http://www.spingola.com/william_rodriguez.htm


Date de création : 06/09/2012 @ 16:03
Dernière modification : 06/09/2012 @ 16:03
Catégorie : Témoignages


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