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Dossier Ben Laden - 08- Ils ont toujours su
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-americains-et-l-isi-ont-116796 

parmoricesamedi 26 mai 2012 - 

Les américains et l’ISI ont toujours su où était Ben Laden (VIII)

Késako alors de l'histoire racontée par Obama de la capture de Ben Laden ? S'il était mort en 2002, difficile d'en faire la capture en 2011, allez-vous me dire...et pourtant. C'est dans la façon plus qu'alambiquée qu'à été décrite son exécution (davantage que sa capture) que réside le nœud du problème. A peine effectuée, des versions différentes et contradictoires vont d'abord s'accumuler. Puis, voyant que le doute subsistait dans les médias, on va sortir de la boîte à malices une personne qui serait la preuve formelle qu'il s'agissait bien de Ben Laden : une troisième épouse, très jeune, "achetée" en quelque sorte par le leader terroriste (pour 5000 dollars de dote, précise-t-on).. au "printemps 2000" : c'et de sa bouche seule, par exemple, que sortira l'explication des pérégrinations de Ben Laden au Pakistan... à partir de 2002 (date à laquelle il a été donné pour mort par beaucoup d'observateurs). Ce qui est donc sujet à caution, ce mariage tardif n'ayant alors jamais fait l'objet d'une quelconque communication par qui que ce soit auparavant. Ce sera d'elle, officiellement, que viendra la confirmation comme quoi il s'agissait bien de Ben Laden comme personne abattue. Un témoignage sujet à questionnement, car l'ensemble du récit de l'opération est un vaste champ d'erreurs et de contres-vérités...

Et il n'y pas eu que la seule petite dernière, dans le genre. Les deux autres épouses précédentes supposées présentes demeurant silencieuses... (les trois restant totalement invisibles après l'assaut). Un silence d'un an environ, date à laquelle va se répandre une énième version des raisons de la capture, celle digne des Desperates Housewifes : "une jalousie entre épouses aurait selon la presse été à l'origine de la découverte du fugitif". Oubliée la théorie émise entre deux d'une fausse campagne de vaccination, elle aussi présentée comme réussie puis dénigrée quelque temps plus tard, pour finit par un procès tribal au Pakistan. Rien, en tout cas, pour rassurer sur l'identité réelle de la personne abattue à Abattobad, dans une maison louée par... un autre chef terroriste (et même deux successifs), comme on pu déjà le voir.

Les premiers communiqués tombés affirmaient pas mal de choses dont la vérification après coup laisse une sacrée impression de malaise : "selon les détails donnés dans une conférence de presse téléphonique par les aides de Barack Obama : Ben Laden vivait dans un compound (villa) à 45 km au nord d'Islamabad. Une zone résidentielle, plutôt réclusive, où vivaient des militaires pakistanais en retraite. Le chef d'Al Qaida ne vivait pas dans une tente dans les zones tribales mais dans un manoir luxueux, "8 fois plus grand que les autres résidences", construit en 2005. Les murs étaient renforcés ("de 12 à 18 pieds d'épaisseur" avec des barbelés). Les résidents brulaient eux-mêmes leurs poubelles. Tous ces détails ont donné aux Américains la confirmation qu'ils avaient été bien aiguillés. C'était un batiment de 3 étages d'une valeur de 1 million de dollars mais sans téléphone ou connection Internet. Les agents américains avaient été mis sur la piste d'un "courrier" de Ben Laden, dont les détenus de Guantanamo ont donné le nom de guerre. Il y a quatre ans, ils ont obtenu son identité. Il y a deux ans, ils l'ont localisé avec son frère sur le compound de Abbottabad (...) Ben Laden vivait là avec sa famille. Trois autres hommes adultes ont été tués dans l'attaque, dont probalement l'un de ses fils. Une jeune femme a aussi été tuée quand elle a été "prise comme bouclier" par un des hommes. Deux autres femmes ont été blessées. Le corps est en possession des Eats-Unis. Les rites musulmans ont été respectés.".

L'imbroglio de l'annonce officielle de la capture, par l'administration américaine,et ses rectificatifs tout d'abord, à été très bien relatée au jour je jour dans un article mémorable que je vous propose de relire ici ni extenso. À ce jour, je n'ai en effet pas trouvé de meilleure critique de ce qui est manifestement une série d'annonces médiatiques particulièrement ratées, vu leurs approximations et leurs mises au point successives, ne laissant pas le souvenir d'une opération véridique, mais bien d'un compte rendu d'un événement dont la réécriture à été successive, au fur et à mesure des doutes émis sur la réalité de ce dernier. Ajoutés au refus d'Obama de montrer des photos du cadavre, ces errements de communication n'ont fait qu'accentuer les doutes sur l'ensemble de l'opération. Après plus de dix années de bobards sur l'individu, les États-Unis en terminaient avec lui en nous servant le plus grand. On a mis ses hésitations successives sous le feu de l'émotion pendant l'action : en ce cas, cette opération de relations publiques pour se débarrasser d'un phénomène datant de plus de 20 ans a été réalisée dans l'amateurisme le plus complet. Aucun professionnel n'aurait pu débiter autant de sornettes dans les jours qui allaient suivre l'assaut. Aucun professionnel digne de ce nom n'aurait laissé la moitié d'un hélicoptère ultra-secret à l'ennemi : le lendemain même la Chine pouvait en évaluer la composition.

L'article en 20 points est celui intitulé "Le brouillard du brouillard", d'une journaliste bloggueuse signéeMichelle Malkin, plutôt de droite (dure) paru le vendredi 6 mai 2011. Elle travaille régulièrement pour Fox-News, qui a toujours suivi la théorie de G.W.Bush sur le cas de Ben Laden, ce qui rend son texte encore plus savoureux. Voulant s'en prendre visiblement à Obama, elle ruine en quelques lignes la vision du président G.W.Bush du fugitif le plus recherché au monde, en faisant plus que douter sur l'assassinat (difficile de parler de "capture") de ce dernier :

"Take One : Ben Laden est mort dans une fusillade sanglante.

Le dimanche soir, Obama a dit au monde qu' "après une fusillade," nos braves hommes en uniforme ont "tué Oussama ben Laden et ont emporté son corps."

Pour embellir l'histoire le lendemain matin, le vice-conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, John Brennan, a déclaré lors de sa conférence que Ben Laden "a été engagé dans un échange de tirs avec ceux qui étaient entrés dans la zone de la maison qu'il poss ... et si oui ou non il a reçu des tirs ou pas, franchement, je ne sais pas. ... C'était un échange de tirs. En conséquence, il a été tué dans cette fusillade. "

Brennan, celui qui indiquera en forme de fanfaronnade que l'opération lancée s'était terminée par l'envoi du code final "Geronimo-E KIAE" le "E" étant pour "ennemi" et le KIA pour "killed in action", donnant s'il en était besoin encore un côté "opération militaire élaborée dans les moindres détails"... façon Hollywood (on croirait entendre John Wayne dans "Jet Pilot"). C'est lui aussi qui citera les auteurs de l'attaque, les SEAL, ceux du Team Six du "Naval Special Warfare Development Group." L'élite des commandos. Il ajoutera également " l'opération a été engagée, et il est mort durant. Si on avait eu l'occasion de le prendre vivant, on l'aurait fait". Ce que démentent à l'évidence la configuration des lieux et l'absence de combats véritables sur place. Trois mois à peine plus tard, le 6 août suivant, fort étrangement, 38 Marines des Seals seront tués dans un terrible accident d'hélicoptère Chinook en Afghanistan, mais sans qu'aucun de ceux participant au raid ne fasse partie du lot. Ceux-là seront récompensés lors d'une cérémonie assez particulière tenue le 5 juin 2001 à Fort Campbell dans le Kentucky, dont étaient originaires les "raiders" du "160th Special Operations Aviation Regiment". Une cérémonie assez particulière, car par un des héros ne sera nommé ni montré à la presse, "secret oblige". N'était-ce pas parfait ? Impossible pour la presse d'en interviewer un seul : juste pour elle d'accepter comme parole divine les communiqués officiels, fussent-il parfois ridicules ou contradictoires. Juste de quoi ce jour-là apprendre que l'équipe dépêchée que place était spécialisée dans les raids nocturnes : celle des Night Stalkers. Les petits américians pouvant déjà jouer avec des figurines les représentant au 1/6eme, genre GI-Joe : ce qui a déboulé des hélicoptères était plutôt... impressionnant.

Take Two : Ben Laden ne s'est pas engagé dans un échange de tirs.

"Le lendemain, Brennan a divulgué ces détails édifiants, l'attachée de presse de la Maison Blanche Jay Carney, lui marchait en arrière façon retour du style de Michael Jackson. Ben Laden, a-t-il dit dans sa version 2.0, "n'était pas armé." Brennan avait clairement laissé entendre que Ben Laden avait "résisté" de façon armée. Carney a modifié le récit en insistant que "la résistance ne nécessite pas une arme à feu." Comment exactement Ben Laden a-t-il résisté, Carney ne le dira pas. Il a été tout en descentes, puis en remontées, en demi-tours et en revirements. Attachez vos ceintures :

Take Three : la femme de Ben Laden est morte après que son mari irresponsable se soit servi d'elle comme bouclier humain.

Take Four : l'épouse de Ben Laden n'est pas morte, n'a pas été utilisée comme bouclier humain et a été seulement blessé à la jambe. Une autre femme a été tuée, dans un autre endroit de la maison.

La gaffe de Carney, tous les journalistes l'avaient relevée. Dans une toute première déclaration officielle, "quand les commandos ont atteint l'étage supérieur, ils sont entrés dans une pièce dans laquelle ils ont vu Ben Laden avec une AK-47 et un pistolet Makarov 9 mm à portée de la main". Un détective de Floride, Bill Warner, très engagé politiquement montrera qu'il possédait le même et que ça n'avait donc rien d'extraordinaire, même si l'arme est russe d'origine (on peut penser que cela faisait davantage "capturé au russes par Ben Laden" !). Le 4 mai, Eric Holder, proche de Barrack Obama, ajoutait encore à la confusion, en affirmant que "Ben Laden n'a pas donné de signe comme quoi il souhaitait se rendre" le lendemain même ou Léon Panetta avait dit "qu'il n'avait pas eu le temps de faire grand'chose". La veille, Brennan avait sorti la fable de la femme utilisée comme bouclier humain... Le 2 mai toujours, le même Brennan avait affirmé que le fils de Ben Laden tué s'appelait Khalid, mais la Maison Blanche parlait en même temps de Hamza. Pour dire le surlendemain que c'était bien Khalid, via la bouche, toujours, de Carney. Chez ABC News, on n'avait pas hésité à titrer "la femme qui avait défendu Osama Ben Laden", avec l'avis d'un "spécialiste" du FBI, Phil Mudd, qui avait trouvé le geste de se jeter entre l'arme du Navy Seal et son mari "naturel" que cela l'aurait"étonné que cet homme puisse sacrifier une femme pour cette opération, mais qu'il était sûr qu'elle aurait voulu recevoir la balle à sa place", accréditant une idée de "devoir conjugal" sortie d'on ne sait où. C'était bien entendu une charge contre l'idéologie religieuse attribuée à Ben Laden, du genre de celle qu'entretiennent des "formateurs" dans les académies militaires ou même auprès des soldats, ce que Wired avait récemment révélé, provoquant un beau scandale. Les broderies journalistiques s'ajoutaient aux broderies officielles ! À ce jour, on ne possède aucune indication sur la femme qui aurait été tuée dans l'assaut : le commando aurait emmené (parait-il) le corps de Ben Laden et de son fils uniquement.

Take Five : Un hélicoptère de transport a connu « une défaillance mécanique » et a été forcé de faire un atterrissage difficile pendant la mission.

Take Six : Un hélicoptère ultra-secret a coupé le mur d'enceinte de Ben Laden, s'est écrasé et a été volontairement explosé après la mission afin d'empêcher nos ennemis d'en apprendre davantage à ce sujet.

L'hélicoptère très spécial, d'un modèle non répertorié dans l'inventaire officiel de l'armée US, et donc directement issu des services spéciaux car construit spécialement par la CIA est un Blackhawk amélioré façon Skunkworks pour le rendre plus furtif, comme j'avais pu l'expliquer  ici-même au lendemain même du raid. On avait bien eu affaire à un crash, dont on avait tenté d'effacer les traces à l'explosif : une réminiscence malheureuse de l'opération Eagle Claw de 1980, à base d'hélicoptères lourds Pavelows, qui avait laissé des images fort traumatisantes pour les USA). Présentée par le Pentagone et Obama comme une pleine réussite, l'élimination de Ben Laden, le fait d'avoir laissé des éléments visibles sur place permettant de renseigner sur les matériaux employés pour rendre l'hélicoptère "invisible" ressemble plutôt à un fiasco : l'homme n'a pas été pris vivant et un appareil ultra-secret a été révélé. Les Pakistanais se faisant en effet un plaisir d'annoncer quelques jours après que l'épave recupérée intéressait fort les chinois ! L'administration Obama, ou l'art de présenter comme un succès un échec militaire plombant pour des années la technologie furtive US ! Tout cela a grand renfort de communication, avec la célèbre photo de la "réunion en direct" pour assister au raid comme à une émission de télé-réalité ! La Villa de Ben Laden Story, en quelque sorte ! À noter que l'emplacement des débris de l'appareil laisse entrevoir qu'il devait être en vol et non posé lors de son accident (il s'est bien brusquement écrasé, comme le démontre le bout de queue resté à l'extérieur de l'enceinte, tenat encore au reste incendié par son long cardan de transmission), dû à un phénomène classique de manque subit de portance dans un lieu délimité par des murs assez hauts, l'air des pales renvoyé au sol n'arrivant pas à se "répandre" au sol et devenant tourbillonnaire. Le choc a dû obligatoirement provoquer des blessés graves chez les membres du commando, sans bien sûr qu'aucune indication n'ait filtrée sur ces blessés. Rien n'a filtré sur les occupants de l'hélicoptère, dont l'épave a été incendiée et détruite... en oubliant à l'extérueur du bâtiment sa queue, preuve d'une rapidité forcée d'intervention. Et d'un manque évident de professionnalisme, je le répète.

Take Seven : Les photos de Ben Laden seraient diffusées dans le monde comme une preuve positive de sa mort.

Take Eight : Les photos de Ben Laden ne seraient pas publiées dans le monde, car il n'y a pas besoin de preuve et il est plus important  en premier lieu d'éviter d'offenser les musulmans pacifiques qui ne sont pas censés englober Ben Laden comme étant un « vrai » musulman.

En fait de photos, on aura celle des deux frères Khan propriétaires de la villa, étendus raides-morts, beignant dans des mares de sang. Certains feront remarquer qu'un des cadavres avait sous lui un pistolet-jouet couleur fluo orange et vert, un simple pistolet à eau. L'un d'entre eux n"hésitera pas à écrire "est ce que les enfants apprenaient à tirer avec ce pistolet jouet ou bien il servait juste à ce à quoi jouent tous les enfants dès qu'il fait trop chaud ?" Laissant entendre une sorte de culture de l'usage d'armes... à partir de pistolets à eau ! La propagande pouvait à partir de phrases aussi débiles être lancée ! Goebbels n'était pas loin, à sombrer dans pareils propos infects.

Les photos qui l'ont été, en tout cas ne correspondent en rien à ce que la presse a pu décrire : même le New-York Times semble s'y perdre. On a bien trois corps, dont deux semblant bien être plutôt pakistanais que d'origine d'Arabie Saoudite. Or selon le journal "Lorsque les commandos des SEALs ont pris d'assaut la maison d'Abbottabad en mai dernier, ils ont tué Ben Laden et atteint Mme Fateh, qui était dans la même pièce, à la jambe. Elle a survécu, mais quatre autres ont été tués dans le raid : le courrier, son épouse Bushra, son frère, Abrar, et Khalid, le fils de de Ben Laden âgé de 20 ans". Le"fameux" courrier qui aurait été donc Shaykh Abu Ahmed al Kuwaiti, dont on possède l'image, ne correspond en rien aux cadavres montrés. Le fils Ben Laden n'étant pas davantage présent : le plus jeune des cadavres ne semble pas être le sien : pire encore, puisque les américains ont dit eux-mêmes avoir emporté "deux corps", dont on peut raisonnablement penser que le second était celui de Khalid.

Take Nine : Neuf : la villa de Ben Laden était un manoir somptueux.

Take Ten : la villa de Ben Laden était une porcherie améliorée.

Comme les plans de la maison retrouvés chez son architecte, le révèlent, celle annoncée à un 1/2 million de dollars est loin de les valoir. Elle ne possède aucune finition évidente (pour une personne censée y vivre depuis au moins 6 ans !), et n'a strictement rien de luxueux. Là encore, la première façon de la présenter a été entâchée de propagande : on sait Ben Laden riche (ça reste à définir, ou à relativiser, selon l'ouvrage de Bauer et Rauefer), on ne peut admettre qu'il puisse vivre dans une villa aussi... banale, avec un si mauvais équipement électrique (certains appareils étant branchés sur une dérivation d'ampoule pendant du plafond ! Même ça, ça n'a choqué personne. Comme l'absence de gardes du corps, dont pas un seul cadavre n'est ramassé ou embarqué par les auteurs du raid d'après ce qu'on a pu apprendre. L'homme le plus recherché au monde se serait fait protéger par... pistolet à eau. C'est tout simplement invraisemblable !

Comme est peu crédible l'interview d'Obama quelque temps plus tard, dans lequeil il en fera beaucoup trop, ajoutant au moulin de la storyteller régulièrement réécrite sur le raid (ce texte a été modifié par la presse comme indiqué entre le 2 et le 14 mai 2011 : "Ce devait être une opération tenant dans un mouchoir de poche," a dit M. Obama. "Il y avait seulement une poignée d'employés à la Maison Blanche qui le savait." Il a ajouté : « Un simple souffle dans la presse aurait pu avoir chassé loin Ben Laden. Nous ne savions pas à ce point s'il pourrait y avoir des tunnels souterrains qui sortaient de cette villa pour lui permettre de s'échapper. "Il a également reconnu qu'il n'était nullement certain que Ben Laden était dans la villa au Pakistan. "En fin de compte, c'était une proposition 50/50 quant à savoir si cela était effectivement bien Ben Laden.". Un Obama en petite forme, car nous donnant deux indications primordiales allant contre les déclarations de ses propres militaires. La première étant que tout l'équipement déployé, hélicoptère compris avait été déployé sans savoir réellement s'il s'agissait bien de Ben Laden, laissant entendre qu'une telle démonstration de force aurait pu aussi viser quelqu'un de moindre "valeur". La seconde étant un mensonge évident, les Navy Seals ayant pu s'exercer à la configuration des lieux bien avant le raid sur une maquette extrêmement précise grâce à des photos aériennes mais aussi grâce aux plans tels que j'ai pu vous les montrer précédemment : disponibles facilement chez l'architecte ou au registre de la mairie d'Abbottabad.  Des plans montrant qu'aucune maison du coin n'avait de fondations profondes. Et donc ni cave, ni tunnel. "Créée des mois avant le feu vert donné par le président Obama, le modèle a d'abord été évalué par la CIA et d'autres agences de renseignement américaines. La maquette a été ensuite présenté à des responsables militaires, comme l'amiral Mike Mullen, alors président du Joint Chiefs of Staff, le général James Cartwright, second de Mullen, et l'amiral William McCraven, le chef du Commandement des opérations spéciales. Le modèle a été utilisé par la suite dans les derniers préparatifs et la planification de l'opération "Neptune Spear", le nom de code donné à la mission héliportée destinée à tuer Oussama ben Laden" nous avait affirmé le Daily Mail..

Take Eleven : la villa de Ben Laden n'avait absolument aucun accès à la télévision, au téléphone ou à un ordinateur.

Take Twelve : la villa de Ben Laden était bien équipée avec des disques durs, des clés USB, des DVD et des ordinateurs à gogo.

Il est évident que c'est également faux : dès les secondes images arrivées, tout le monde a remarqué une énorme antenne satellite au-dessus d'une avancée vitrée de la villa. Plusieurs mois après, les américains se dédisent en révélant des "documents" extraits des ordinateurs saisis sur place. Leur côté anodin et futile renforce l'idée d'une fabrication de dossier complète. D'autres antennes parsemaient les toits du "compound". L'idée de l'absence de communication hertzienne était en fait nécessaire pour renforcer la théorie du "courrier" humain qui aurait permis de remonter jusque Ben Laden, qui n'aurait communiqué que par petits bouts de papier. Encore un peu, et on nous aurait présenté les signaux de fumée indiens comme mode de communication chez lui. Il était invraisemblable de dire qu'il ne pouvait pas utiliser l'internet quand on retrouve facilement dans les annuaires locaux de vendeurs de coupoles destinées à recevoir les satellites dans la ville même d'Abbottabad ! Même dans la fameuse maquette au 1:84  abondamment montrée ces derniers jours du complexe, fabriquée par le National Geospatial-Intelligence Agency (NGIA) elle y figure, cette antenne circulaire (elle était même visible... de satellite) !

Pas d'ordinateurs ? Ce n'est pas ce que dit le pitoyable document présenté comme étant le dossier "déclassifié" réalisé à partir des divers supports saisis, dont une "centaine" de clès USB et...les disques dur examinés. Seulement 17 documents pour 197 pages en anglais en ont été extraits, la plupart des e-mails sans intérêt qui sentent le réchauffé (ou le réécrit, ou plutôt la création totale) : on a connu des ermites plus diserts...

Take Thirteen : Et, vous vous rappelez de la déclaration de Ben Laden comme étant armé ? Et puis pas armé ? Eh bien, la nouvelle version, c'est qu'il avait un AK-47 "proche" de lui.

Take Fourteen : Un conseiller d'Obama a dirigé la à distance la mission.

Take Fifteen : Un Obama plutôt réticent a tergiversé pendant 16 heures avant d'être convaincu par le directeur de la CIA Leon Panetta.

Là aussi, on va mettre en scène le CHOIX cornélien qu'aurait dû faire Obama en choisissant clairement d'éliminer Ben Laden. En fait, on peut surtout y voir un Obama d'une adresse politique redoutable : depuis son accession, il sait qu'Obama est un mythe entretenu et qu'il est mort depuis 2002. Il choisit donc d'éliminer le mythe, en en créant un autre. Pas davantage possible à vérifier que le précédent. Tuer un fantôme présente des avantages, certains, en effet, le plus intéressant étant de faire de son opposition républicaine une alliée obligatoire : les députés et sénateurs (dont le sénateur de l’Oklahoma, James Inhofe, ici en photo, un fervent opposant au réchauffement climatique !) à qui on a dit avoir montré les photos du corps de Ben Laden, trop horrible à voir, sont obligés d'admettre l'idée. C'est ça, pour eux, où avouer que Ben Laden n'existe plus depuis 2002, ce qu'ils savent depuis cette date, justement ! Ruinant en le faisant l'image de la présidence US précédente, qui aurait mené pendant 6 ans son peuple en bateau ! Obama n'a plus besoin de Ben Laden, avec tous les "numéros 2" que son administration a inventé et proposé au monde depuis des années, une course débutée sous G.W.Bush, déjà destinée à remplacer dans la tête de l'américain moyen le nom de Ben Laden. Obama peut faire l'économie de l'épouvantail, il n'en a plus besoin comme repoussoir. Encore davantage s'il veut vendre son F-35 invendable, qui n'est pas vraiment un avion de contre-insurrection !!! 

Take Sixteen : Obama, le vice-président Joe Biden et les proches conseillers ont regardé le raid se déroulant en temps réel - "minute par minute », selon Carney - et une photo d'initié médiatique a été publiée immédiatement par la Maison Blanche sur le site de partage de photos web Flickr pour que tout le monde puisse la voir.

L'empressement à envoyer la photo de la réunion du staff qu'on trouvera abondamment retouchée est assez révélateur en effet d'une méthode, avec une arrière pensée derrière. Jugé indolent, voilà un Obama chef de guerre effectif, dirigeant la manœuvre... en direct !

Take Seventeen : euh, ils n'étaient pas vraiment a regarder la vidéo en temps réel "minute par minute" parce qu'il y a eu au moins à peu près une demi-heure pendant laquelle ils « ne savaient pas exactement ce qui se passait », a précisé Panetta. Ou plutôt, non précisé.

C'est exact et ça fiche en l'air une partie du récit : tout le monde a oublié le crash de l'hélico secret, censé on pense, contenir le commando. Le temps de remonter le matos de transmission dans le second, un Chinook plus traditionnel, et on pouvait à nouveau avoir le Raid-Story en direct. A moins que le cameraman eût été dans le second... mais n'aurait alors rien pu filmer du raid à l'intérieur du "compound", étant obligé de se poser à l'extérieur pour déverser son commando. Un hélico en réserve de l'autre, ça nous rappelle d'autres opérations montées de toutes pièces (celle d'Ingrid Bettencourt !).

Take Eighteen : l'ordre d'Obama le ferme a été de tuer, et de ne pas capturer Ben Laden.

Take Nineteen : Pour le "sensible" Obama, l'ordre était de le tuer (SET ITAL) OU (ITAL FIN) de le capturer - et c'est pourquoi l'équipe de SEALs lui a donné une chance de se rendre, avec laquelle il a résisté par les armes, ou effectivement n'a pas résisté par les armes, mais dans une sorte de résistance sans armes, sauf qu'il n'y avait un AK-47 à proximité, en quelque sorte, ou peut-être pas, rendant ainsi possible d'affirmer que, bien que le décisif Obama n'avait pas dit aux SEALs de tuer Ben Laden et que ceux-ci devraient réclamer tous les ordres pour le faire, le progressif Obama peut également être absous par des cœurs à à vif en raison de la possibilité minutieusement concocté a posteriori que Ben Laden en quelque sorte aurait menacé nos militaires - par télépathie ou quelque chose comme ça - avant d'être abattu.

Il est évident qu'aucune action désirant le prendre vivant n'a été tenté dans cette maison, à voir les trois cadavres montrés baignant dans leur sang, preuve aussi que les balles utliisées étaient celles habituelles pour provoquer de gros dégâts corporels. Un peu trop, même dirons nous, puisque l'excuse donnée par Obama à ne pas vouloir montrer le corps d'Obama étant qu'il lui manquait la moitié du crâne. Le corps le plus jeune montré ayant été visiblement atteint d'une balle dans la tête, ne semble pas être dans ce cas de figure.

Take Twenty : « Nous sommes venus avec des faits autant que nous le pouvons," a dit un peu irrité, Carney, le mercredi.

Et ils se demandent pourquoi les Américains de toutes les allégeances politiques pensent qu'ils font souffler du vent....

La vérité a une drôle de façon de faire des bulles à la surface. Combien de fois a l'histoire a-t-elle été changée et pourquoi ce Président N°44 ne peut pas nous donner une histoire linéaire sur cette affaire ? Cette question, n'a plus d'importance parce que Oussama ben Laden est mort et n'est plus un noeud de renseignements (mais nous avons récupéré son pouce et ses disques durs - le meilleur des deux mondes) ou une menace terroriste, ici, dans une sorte de second mandat de Carter."

Plusieurs événements consécutifs semblent avoir encore ajouté à la thèse de la fabrication complète et de l'emprise des services secrets pakistanais sur l'affaire : La prompte destruction à la pelleteuse de la maison d'Abottabad, l'injonction faite aux voisins de rester muets, le reflux des journalistes accourus poiur vérifier qui abritait vrament sur place, puis le maintien en détention des trois épouses supposées, sans qu'on ne puisse vérifier leur identité réelle, ni communiquer avec elles, plaident en faveur d'une certaine connivence entre les deux services secrets pakistanais et américains.

L'une des premières informations avait été "l'histoire du courrier" : "Les Etats-Unis ont soupçonné la présence d'Oussama ben Laden à Abbotabad au Pakistan grâce à plus de quatre ans de surveillance de l'un de ses plus fidèles messagers, identifié par des prisonniers de Guantanamo. « Ils ont indiqué qu'il était probable qu'il vive en compagnie ou sous la protection de Ben Laden », a raconté un responsable de l'administration américaine aux journalistes. En août dernier, donc, les autorités américaines ont découvert que ce messager vivait avec son frère et leurs familles respectives dans un bâtiment de trois étages inhabituellement luxueux et protégé comme une forteresse, à moins de deux heures de route au nord d'Islamabad" avait indiqué 20 minutes. L'homme aurait été Sheikh Abu Ahmed al-Kuwaiti (Abou Ahmed, dit « Al-Kuwaiti » - le Koweïtien), présenté comme ayant diverses responsabilités chez Al-Qaida après avoir été le " protégé" de Khalid Sheikh Mohammed. Or selon Wikileaks, l'homme aurait été tué à Tora-Bora en 2001 et lors de la capture de Ben Laden aucun des deux cadavres montrés ne correspondaient au personnage. Selon l'Hindustan Times, les deux hommes étaient Arshad et Tariq Khan tous deux Pakistanais : le plus âgé, Arshad, étant tout simplement celui qui avait acheté le terrain et bâti la villa. Sur la BBC, un taxi local plus bavard que d'autres affirmera au journaliste Aijaz Mahar, du journal en urdu de la BBC que les deux frères Khan étaient des trafiquants. Un autre spectateur affirmait avoir vu des soldats pakistanais repartant de la villa avec des armes, de l'or et du cash...

Selon la légende véhiculée par les américains, Sheikh Abu Ahmed al-Kuwaiti aurait été repéré au Pakistan dès 2005. "Ce n’est qu’en juillet 2010, qu’une conversation téléphonique permet de reconstituer une identité entière et un lieu d’appel, puis de remonter jusqu’à Peshawar où des Pakistanais, travaillant sous contrat de la CIA, font le lien entre l’appel intercepté et un homme se déplaçant dans une voiture Suzuki blanche dont l’immatriculation est relevée. En août, en filant la Suzuki, la CIA identifie enfin l’immeuble d’Abbottabad" précise Le Soir. Suzuki, ou la Toyota Corolla blanche venant d'Islamabad qui a visité toutes les maisons où aurait habité Ben Laden , ou plutôt le Maulavi Abdul Kabir ? Toujours est-il que Peter Goss, responsable de la CIA nommé par Bush a mouillé autrefois dans le fiasco de la Baie des Cochons vait indiqué en 2005 à propos de Ben Laden que "qu'il avait bien une idée de l'endroit où il résidait"... ? Deux ans plus tard, en juin 2007, son collègue et directeur de la National Intelligence, Mike McConnell affirmait que Ben Laden devait être "dans les zones tribales" au Pakistan. Trois ans plus tard, c'est le nouveau directeur de la CIA, Leon Panetta, qui affirmait que "Tout ce que je peux vous dire, c'est que c'est dans les zones tribales. C'est tout ce que nous savons, qu'il est situé dans le voisinage. Le terrain est très difficile. Il a évidemment une sécurité énorme autour de lui"... en somme, pendant cinq ans on l'aurait donc su, au sein des services secrets sans rien faire. Surtout pas en 2008, lors de l'élection présidentielle dans laquelle l'effigie de Ben Laden avait été mise en avant, avec des vidéos visiblement anciennes et trafiquées (l'affaire de la barbe noire). Bush avait affiirmé qu'il ne savait pas où se cachait Ben Laden, et "qu'il s'en fichait". Lorsqu'on montrera les premiers documents ramenés après le raid des Marines, c'est un Ben Laden de 2008 utilisant des images de 2004 ou même antérieures que l'on montrera : certains avaient évoqué l'idée que le Ben Laden à la barbe noire était... un comédien.

A bien regarder, l'histoire du courrier "intercepté" ou "surveillé qui aurait été suivi grâce à des "aveux" obtenus sur des prisonniers de Guantanamo ne servait en fait qu'une seule thèse : celle du bien fondé de l'usage du waterboarding ! Lesténors Bushiens ne se privant pas de le faire dès l'annonce de la mort de Ben Laden. Obama aurait-il ainsi trouvé le moyen de récupérer ainsi un sujet dont il n'arrivait pas à se sortir ? Rendre les aveux obtenus responsables de la découverte du fugitif le plus recherché permettait en effet de ne pas se mettre à dos la CIA ou l'armée, qui avait toujours soutenu la démarche. Ben Laden avait après Tora Bora rejoint un homme d'affaires pakistanais, Saifullah Paracha, comme j'ai pu l'indiquer précédemment. Celui-ci sera arrêté le 8 juillet 2003 à Bangkok et transféré à Guantanamo le 19 septembre 2004. Mais son principal soutient sur place ; comme j'ai également pu le dire sera Abu Faraj al-Libi (de son vrai nom Mustafa al-'Uzayti) qui sera lui arrêté par l'ISI) le 2 mai 2005, à Mardan à 48 km au nord de Peshawar. Le fait le plus notable, et qui semble avoir échappé à beaucoup étant qu'en 2003, Abu Faraj al-Libi habitait déjà... à Abbottabad. Devenu le numéro 10017 des détenus à Guantanamo, il avait déjà donné une des clés du scénario de 2011 : "à la mi 2004, le détenu à déménagé sa famille d'Abbottabad à Bajaur, au Pakistan", révèlent les fichiers de Wikileaks... Déménagé pour laisser la place à qui ? A Ben Laden, ou à son remplaçant ? En tout cas, ce que l'on sait , c'est qu'en 2004 déjà les américains savent qu'une haute personnalité talibane était déjà sur les registres de la CIA. Quand on "découvre" Abbottabad en 2011, les services de renseignement savent depuis plus de 7 ans que la ville est un fief taliban !


Date de création : 14/09/2012 @ 16:33
Dernière modification : 14/09/2012 @ 16:33
Catégorie : Dossier Ben Laden


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